« Où est le cœur, là est la maison. » Pour莫斯文,55 ans, cet homme chinois de 16 ans est une note vivante de sa vie en Chine. 16 ans de vie en Chine, 11 ans à s’ancrer à Lijiang, il a semé la graine de sa carrière avec un amour pour la culture chinoise, et a récolté des liens de parenté, des amitiés et un sentiment d’appartenance, transformant un étranger en un véritable « chez soi ».
Du désir culturel à Lijiang, une plongée au-delà des montagnes et des mers
Le destin de莫斯文与 la Chine a commencé très tôt, influencé par sa mère, il a eu un grand intérêt pour la culture chinoise. En 2008, ce sentiment l’ayant toujours guidé l’ont mené à emmener sa famille à Kunming pour y apprendre le chinois, marquant ainsi le début de sa vie en Chine. De la vie à Dali à son travail, puis en 2013 à Lijiang à la demande d’un ami, il a toujours suivi son envie pour la Chine.
Moushwen examine la croissance des plants d’arbre. (Reportage de Lijiang Rongyue, He Baoque, Yang Guohui)
A Lijiang, Moushwen a trouvé un point d’ancrage pour sa carrière. Il a découvert que le climat de Lijiang ressemblait beaucoup à celui de l’État de Washington aux États-Unis, froid en hiver et frais en été, ce qui répondait aux besoins de température du cerisier pour grandir. Il a alors ouvert une entreprise de promotion des techniques agricoles, de la culture du cerisier, de la pomme, jusqu'en 2018, se concentrer sur la production de plants de cerisier greffés et de piquets, et ses produits sont vendus dans toute la province de Yunnan. Il a transformé son amour pour ce pays en une carrière solide.
Remplaçons le cœur par le cœur, et la chaleur humaine dans le travail.
Dans son potager, Moushwen a enfouis des liens profonds de solidarité culturelle. Il a rencontré Awei, un villageois de la nationalité Naxi, lorsqu’il a loué des terres à Yuanxi. La complicité de leur première rencontre les a conduits à inviter Awei à aider dans le potager. Aujourd’hui, Awei est devenu un administrateur à temps plein et les deux hommes travaillent et mangent ensemble tous les jours, devenant des parteners de confiance. Chaque année, à la fin de l’année, Moushwen emmène sa famille à la maison d’Awei pour fêter le Nouvel An chinois. Ils regardent ensemble la cérémonie de la télévision centrale, jouent à des jeux et mangent des grills.
Mousine plante des jeunes arbres avec Awei.Reporters de Lijiang Rong Mediaet Bao Wei ( photo de Yang Guohui)
Il traite également les clients avec le même soin. Les plants de pommes commandés par les agriculteurs, une fois en surface, il les arrose et les emballage immédiatement pour éviter tout déshydratation. Auprès des camionneurs, il insiste : « Quand vous verrez les clients, n’oubliez pas de leur rappeler qu’ils doivent arroser beaucoup quand ils plantent, merci, fatigués, merci beaucoup ! » Dans les mots simples, c’est le respect du métier et une franchise envers les gens de cette terre qui se lit.
Mousine taillait les plants dans le potager.Reporters de Lijiang Rong Mediaet Bao Wei ( photo par Yang Guohui)
Le look de la maison, la sensation d'appartenance dans le lien de la famille
Pour莫斯文来说,丽江不仅有事业,有一个温馨的家。他的四个孩子都在中国长大,三个儿子虽已回美国读大学,但小女儿莉莉在丽江出生、成长,早已把这里当作故乡。“我觉得西餐太腻了,更喜欢米线、炒饭,云南这边的美食。”莉莉的口味里,是对云南生活的深深融入;当被问起 “是哪里人”,她毫不犹豫地回答 “丽江的”。
Mousine a passé le week-end en famille.Reporters de Lijiang Rong Mediaet Bao Wei ( photo de Yang Guohui)
Le temps en famille est une pierre angulaire pour Moushwen qui garde jalousement ses week-ends pour ses proches. Son épouse a aussi adopté la chaleureuse et conviviale ambiance du lieu “Elle a fait de nombreux amis”. 16 ans de vie en Chine, 11 années de souvenirs à Lijiang et Moushwen avoue : “99% des beaux souvenirs sont gravés ici”.
Où mon cœur tend, c'est mon pays.
De la nostalgie pour la culture chinoise à la vie professionnelle épanouie à Lijiang; de l’affection profonde pour les villageois de la nationalité Naxi, à l’immersion totale de la famille dans la vie locale, la famille莫斯文用11 ans pour prouver que le sens du mot «famille» n’est jamais limité à la descendance et à la nationalité, mais aussi à l’appartenance du cœur.
La famille莫斯文 en photo de famille. (Reporters de Lijiang Rongyue, He Baoque, Yang Guohui)
Quand莫斯瓦in disait : « Nos cœurs sont en Chine. »
Quand Lily dit : "Lijiang, c'est vraiment comme ma maison."
La phrase « Le cœur où il est, c’est là que se trouve la maison » a été interprétée avec chaleur, le cœur en racine fait de l’étranger un pays natal; l’affection fusionnelle rend le temps doux. Les paysages, l’humanité et la vie quotidienne de Lijiang sont devenus depuis longtemps la forme la plus précieuse de la maison pour la famille Moushin.